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L’arbousier

Combien arroser l’arbousier

La culture de l’arbousier est assez simple, qu’il soit planté au jardin ou en pot. Il a besoin d’un sol drainant, frais et riche en matière organique. Il s’adapte assez bien aux climats plus froids et plus doux, en particulier le climat méditerranéen. Pendant l’été, il a besoin d’une irrigation abondante, en veillant à ce qu’il n’y ait pas de stagnation dans le sol due à des quantités excessives d’eau. Pour cette raison, l’idéal est de laisser sécher la terre entre un arrosage et le suivant, arrosage qui doit se faire de préférence par glissement. Suivant cette méthode, les irrigations ont généralement lieu tous les 15 à 20 jours. Dans le cas des jeunes plants, cependant, ils peuvent aussi être plus fréquents. Les plantes en pot, quant à elles, nécessitent un arrosage régulier tous les 3 ou 4 jours,

Culture et soins


La culture de l’arbousier est simple : c’est une plante très résistante, qui peut atteindre jusqu’à 1000 mètres de hauteur. Il s’adapte facilement à différents types de sol bien que l’idéal soit riche en sable et très drainant. La plantation a lieu au printemps, dans un trou profond au fond duquel du gravier a été déposé pour éviter la stagnation de l’eau. Le collet doit dépasser du sol tandis que les racines doivent être bien rentrées pour éviter la formation de poches d’air. Une fois que la plante a été placée dans le sol, elle peut être arrosée et paillée pour maintenir l’humidité du sol. L’arbousier ne nécessite pas de taille particulière, également parce qu’il y a des fleurs et des fruits toute l’année. La récolte de ces derniers a lieu en automne et, étant donné qu’ils fermentent rapidement,

Quand fertiliser l’arbousier


La première fertilisation du sol a lieu lors de la plantation. Le fumier de cheval ou de bovin peut être utilisé en mélange avec la terre qui recouvre directement les racines, ou vous pouvez opter pour un engrais chimique. Dans ce cas, chaque plante doit recevoir 40 ou 50 grammes d’urée technique mélangée à du sulfate de potassium et du superphosphate minéral. En général, cependant, dans le cas du jeune arbousier, il est plus important de traiter le paillis que de fertiliser. En effet, la couche de paillis sert à retenir l’humidité du sol et à favoriser l’enracinement des racines. Après la première fécondation, les autres ont lieu après 1 ou 2 ans, toujours en novembre ou décembre : dans ces cas, environ 3 kg de fumier de vache bien mûr sont saupoudrés pour chaque mètre carré de terrain

Arbousier : Maladies et remèdes


L’arbousier est très résistant mais n’est pas à l’abri des attaques de parasites, de champignons et d’insectes. En particulier, il peut y avoir des cas de pourriture du collet, dues à Phytophthota cactorum, un champignon qui attaque les tissus à la base des plantes, les rendant incapables de véhiculer les nutriments. Cette maladie peut être combattue à la fois par des fongicides et par l’application de «bonnes pratiques», telles que l’élimination immédiate de la plante humide, le contrôle constant du drainage et l’utilisation de nouveaux sols. Une autre maladie courante chez cette plante est la soi-disant septoriose de l’arbousier. C’est une maladie qui affecte les feuilles, et qui se manifeste par des taches rougeâtres sur les bords et grises au centre. C’est une maladie grave qui affecte la plante dans son ensemble, s’étendant sur toute la couronne et provoquant le dessèchement des feuilles, qui ne sont plus en mesure d’exercer leur action de photosynthèse. La septoriose est combattue avec des fongicides chimiques, l’élimination du feuillage malade et la taille.

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