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Marsilea

Des plantes partout

Le monde des plantes est un monde si vaste et rempli de différentes formes de vie que beaucoup d’entre nous, s’ils le savaient, seraient étonnés ; en effet, raisonnant avec une certaine superficialité, le monde végétal ne nous semble composé que de plantes, certaines avec des fleurs et d’autres sans, dont les fruits peuvent être mangés et dans d’autres cas où ils ne sont pas comestibles, et ainsi de suite. Cependant, le fait est que les plantes sont si variées et différentes du fait qu’elles sont présentes sur notre planète depuis des millions d’années, et pendant tout ce temps elles n’ont évolué que pour toutes les raisons que l’évolution darwinienne nous a enseignées. : continuer à s’adapter à la vie sur une planète en constante évolution, également en raison de changements morphologiques et climatiques (il y avait des phases dans lesquelles l’air était irrespirable et / ou la lumière du soleil pouvait à peine pénétrer), procéder à une amélioration de l’espèce qui est la tendance innée de toute forme vivante et quelques conséquences de ces phénomènes. Il est donc évident qu’une plante adaptée à vivre dans la forêt tropicale est différente de celle qui s’est adaptée au désert de Gobi, et cela a introduit des formes de plantes spectaculaires, comme nous allons le voir maintenant.

Plantes aquatiques


Quand nous disions dans le paragraphe précédent « en tout lieu », nous voulions dire que les plantes ont en effet pu évoluer à un point tel qu’elles peuvent vivre et proliférer partout sur Terre, même les plus impensables. Quand nous disons cela, la plupart d’entre nous pensent certainement au désert, un endroit impossible à vivre pour nous-mêmes. Mais il existe un autre endroit « impossible » où les plantes ont toujours vécu en abondance : l’eau. Les plantes aquatiques sont une branche importante du monde végétal constituée d’espèces qui se sont habituées à vivre partiellement ou totalement immergées dans l’eau selon les espèces et, toujours de manière variable, même à des profondeurs différentes par rapport au point zéro du continent. Ils utilisent divers mécanismes pour survivre, mais continuent généralement à avoir des racines, tandis que la présence de fleurs et de fruits est beaucoup plus rare. Eh bien, ces plantes aquatiques sont toujours dans l’intérêt de l’être humain, curieux de comprendre comment elles ont pu vivre sous l’eau et d’abord fascinées par ces «capacités» apparemment surréalistes. En réalité, les plantes aquatiques sont conçues pour comprendre et comprendre certains mécanismes pour éloigner les cellules de l’eau, ou pour empêcher le corps de la plante d’être détruit, digéré par la puissance de l’eau.

Marsilea

Marsilea est une espèce très connue dans le domaine des plantes aquatiques, connue surtout sous le nom de «trèfle d’eau à quatre feuilles» clairement en raison de son apparence très similaire au trèfle à quatre feuilles, c’est-à-dire une feuille divisée en quatre lobes égaux . C’est une plante qui peut vivre à la fois de manière amphibie (c’est-à-dire en partie dans l’eau et en partie à l’extérieur, une condition de rivage classique) et totalement immergée, ce qui est la façon la plus courante de la trouver. Elle est classée comme une fougère de type amphibie, de petite taille (elle ne dépasse jamais une quinzaine de centimètres de hauteur du sol) ; ses caractéristiques sont celles d’une plante herbacée, ou d’une plante rampante et couvre-sol, bref une vraie plante à gazon… sous l’eau pourtant ! Il a en effet une tige très ramifiée qui ne monte cependant pas vers le haut (la surface de l’eau dans ce cas) mais continue de croître, rampant sur les fonds marins et continuant à se ramifier. Tout provient des racines rhizomateuses qui restent cependant cachées sous la surface des fonds marins, bien ancrées au sol. La seule partie qui tient debout est celle des rameaux qui supportent les feuilles, voire la feuille : en fait chaque rameau supporte une feuille, sauf qu’il peut ou non se diviser en plusieurs lobes (pour un maximum de quatre).

Variantes et utilisations

De nombreuses études scientifiques ont été menées et sont toujours en cours sur Marsilea (dont le nom a été donné par Linné en l’honneur d’un caractère italien), car nous voulons essayer de comprendre si les variants avec différents nombres de lobes par feuille sont des espèces différentes ou sont des variantes de la même espèce. En effet, des tests en laboratoire ont montré que le fait que la feuille se divise en plusieurs lobes dépend beaucoup de la température de l’eau dans laquelle se développe la plante, et sur un même spécimen des modifications attribuables aux variations de température sont connues. Eh bien, au-delà de tout cela, les utilisations de Marsilea la considèrent très appréciable en raison de sa couleur verte intense et brillante (même s’il a été noté que cultivée dans l’eau à une température inférieure à dix degrés centigrades la couleur tend évidemment au jaunâtre, moins appréciable) et la possibilité de créer de véritables pelouses, très décoratives aussi bien pour les bassins que pour les aquariums. En fait, l’une des utilisations majeures de Marsilea est précisément dans les aquariums, où leur capacité décorative est souvent combinée avec de grosses pierres ou des troncs, autour desquels elle crée la bonne couverture pour la partie la plus «réservée» de la vie de certains poissons, qui ils adorent se cacher parmi les feuilles de cette plante ce qui garantit leur protection et donc leur repos.

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