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Techniques et horaires d’arrosage

Le noyer est un arbre imposant et majestueux qui, bien que originaire du continent asiatique, pousse également très bien dans nos environnements. Il a un tronc solide et large et des racines fortes qui se développent en profondeur considérable. Les feuilles de l’arbre sont généralement alternes, vert vif et avec de nombreuses veines. Vers septembre / octobre, vous pouvez récolter les fruits qui semblent protégés par une croûte extérieure plus verte et un brun foncé, avec une texture plus coriace à l’intérieur. Les deux protègent le fruit formé par les noyaux, sa forme caractéristique. Le noyer est un arbre qui tolère les basses températures, mais pas les excès de chaleur ou de froid. Pendant l’été, en effet, une irrigation continue et abondante est recommandée, tandis que dans les périodes plus froides, la quantité d’eau doit être dosée, en raison de la basse température s’évaporant plus lentement, les stagnations d’eau pourraient être mortelles pour la plante et ses racines. Les interventions d’irrigation dans les périodes de juin à septembre doivent être espacées de 10 ou 15 jours et suspendues pendant environ 10 jours en cas de conditions météorologiques défavorables.

Techniques de culture


Le noyer est un arbre assez autonome qui est également cultivé pour exploiter son bois précieux. C’est un arbre qui s’enracine sur presque tous les terrains, préférant le milieu vallonné, peu exposé à l’humidité et assez fertile. Les sols argileux sont déconseillés car peu drainants. Les techniques de multiplication se font par semis ou par greffage. Le semis de noix est effectué à l’automne. Les plantes seront prêtes à être plantées après la deuxième année de culture à partir du moment du semis. Ils pourront subir le greffage de la variété choisie en période hivernale. Les plans de plantation varient de 10 mètres entre les rangs et les plantes dans les sols les plus petits tandis que dans les plus grands, ils augmentent jusqu’à 15 mètres. Quant à la taille, nous nous sommes orientés vers l’obtention de la taille dite verte. Lorsque les pousses se développent jusqu’à environ 20/25 cm, une première coupe est faite qui décide de la longueur de la tige. Dans cette phase, vous devez essayer d’enlever toutes les drageons, afin de réduire les autres branches d’au moins deux feuilles de l’axe central. La deuxième taille a lieu en juillet pour assurer le développement de la pousse centrale.

Fertilisation


Le Noyer est un arbre dont la fertilisation dépend aussi et surtout des besoins nés si la plante venait à se retrouver dans des sols particuliers dépourvus de certaines substances. Dans la plupart des cas, l’ajout d’engrais chimiques est recommandé après la cinquième année, tandis que dans la période juvénile de la plante, les engrais organiques sont plus adaptés. Comme pour beaucoup d’autres arbres, la fertilisation est suggérée tous les un / deux ans avec du fumier mature ou d’autres engrais organiques qui sont intégrés à des engrais chimiques à base de phosphore, de potassium, de micro-éléments et en particulier d’azote, qui doivent agir comme un énergisant. Dans les sols peu fertiles, il est nécessaire d’augmenter la dose et la fréquence des interventions. La fertilisation prévoit donc l’apport de beaucoup d’azote jusqu’à la cinquième année, et par la suite la

Noyer: Ravageurs et maladies


Bien que le Noyer soit un arbre qui se distingue par sa majesté et sa grandeur, il ne manque pas d’être, dans certains cas, la cible de parasites ou de maladies fongiques. L’un des plus redoutés est sans aucun doute le ver, qui échappe aux contrôles constitués par les multiples couches protectrices du noyer et s’en nourrit intérieurement. Un autre parasite très dangereux est le ver du bois, qui est capable d’endommager le bois car il est capable de creuser de longs et profonds tunnels dans le tronc de l’arbre. L’anthracnose, en revanche, est un champignon capable de causer de graves dommages à la plante de noyer, car en plus de la chute des fruits, elle provoque également une chute soudaine et totale des feuilles de l’arbre. De plus, là où le sol est très humide, froid ou en proie à une stagnation d’eau, il devient le lieu idéal pour la pourriture des racines, qui provoque des gonflements et des cancers aux racines ou à la base du tronc entraînant la mort irrémédiable du noyer. Ces dangers naturels, parfois aussi inhérents au sol, sont vaincus par l’application de traitements de prévention et l’utilisation de produits à base de cuivre (mélange bordelais et oxychlorures).

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