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Bignonia (campsis radicans)

Plantes et adaptation

L’être humain est une espèce animale que l’on peut définir comme le joyau de la nature, car il a développé des adaptations et des capacités qui en font désormais un animal dominant sur la planète. Ceci dit, cela est parfois mal interprété par certains hommes, qui tentent de dominer la nature elle-même et de détruire la planète (oubliant ainsi deux choses, une que la nature nous a créés et il est difficile de dominer ceux qui vous ont donné la vie, et deux que nous n’avons que une planète et nous devons la garder chère), nous devons considérer le fait que des détails évolutifs incroyables, avec des adaptations extraordinaires, se produisent à la fois dans le monde animal mais surtout dans le monde végétal : les plantes peuplent toute la planète, là où nous sommes il y a certainement eux aussi, et dans certains cas ils vont encore plus loin, survivre dans des déserts chauds et froids ou à des milliers de mètres d’altitude dans les montagnes. Le moteur de tout cela est l’esprit d’adaptation, une exigence fondamentale pour la vie et l’évolution, capable de permettre aux espèces de chaque règne de modifier les habitudes et les mécanismes de survie pour surmonter le changement climatique, les événements naturels extrêmes tels que les éruptions, les tremblements de terre, les tornades et continuer la vie. Les espèces incapables de le faire n’ont pas d’avenir et disparaissent.

Plantes grimpantes


Si l’on veut évoquer les adaptations extraordinaires du monde végétal, il y aurait des arguments et des cas à débattre pendant des mois, sans exagérer ! Force est de constater que certains cas sont frappants, comme celui des succulentes : les « succulentes » (c’est le nom scientifique) pour survivre dans les déserts arides ont appris à stocker l’eau en période de gras, en la conservant et en la réduisant au minimum les l’utilisation et les pertes (par exemple en transformant les feuilles en épines, afin de réduire la surface et donc les pertes dues à l’évaporation) afin de les avoir disponibles même lorsqu’il n’y a pas du tout d’eau dans l’environnement. A côté de cet exemple extraordinaire nous aimons mettre des plantes grimpantes : elles, cultivées et évoluées dans des milieux où le sol n’offrait pas de garanties de substances, ils transformaient littéralement les racines en cales, pour grandir en se liant à des parois verticales ou à des troncs. Cela dit, cela ne semble pas extraordinaire, mais pensez simplement que presque toutes les plantes grimpantes exploitent non seulement la force de «serrage» des racines aériennes enroulées autour des troncs pour se soutenir, mais utilisent également les drageons qu’elles ont dans les racines. Vous avez raison, meuniers ! Si ce n’est pas extraordinaire…

Bignonia (campsis radicans)

Parmi les nombreuses plantes grimpantes qui nous entourent (dont beaucoup ne sont pas originaires de nos terres, cependant elles se sont très bien adaptées aussi parce qu’elles ont une grande capacité d’adaptation et vivent aussi dans l’air et c’est bien ou mal pareil partout), la plus célèbres et appréciées sont celles du genre Bignonia : cette plante est une plante grimpante épaisse, rapide et colorée que l’on retrouve sur les murs de nombreux bâtiments, notamment à proximité de jardins privés bien entretenus. Il est possible de le reconnaître à ses fleurs d’une couleur intense et appartenant aux gammes chromatiques entre le jaune et le rouge (il a donc aussi des nuances orangées) : elles ont la forme d’une cloche allongée, à cinq pétales se terminant par un léger virage vers l’externe. En réalité, la bignonia que l’on définit communément est la «campsis radicans», appartenant précisément au genre Campsis; ces deux genres, les Bignonia et les Campsis se ressemblent beaucoup, en effet les radicans appartenaient d’abord aux Bignonie et n’ont été que récemment classés définitivement au Campsis. Évidemment, le nom de la plante dans le domaine populaire n’a pas changé, et dans tous les cas, il faut souligner que ces deux genres sont vraiment très similaires, également pour les caractéristiques de croissance. Ce qui varie le plus, c’est dans la forme des fleurs (les couleurs sont plutôt de la même gamme) et dans leur cycle de vie, qui pour certaines fleurit au début de l’été et pour d’autres même au milieu de l’automne. en effet les radicans appartenaient d’abord à la Bignonie et ce n’est que récemment qu’elle a été définitivement classée au Campsis. Évidemment, le nom de la plante dans le domaine populaire n’a pas changé, et dans tous les cas, il faut souligner que ces deux genres sont vraiment très similaires, également pour les caractéristiques de croissance. Ce qui varie le plus, c’est dans la forme des fleurs (les couleurs sont plutôt de la même gamme) et dans leur cycle de vie, qui pour certaines fleurit au début de l’été et pour d’autres même au milieu de l’automne. en effet les radicans appartenaient d’abord à la Bignonie et ce n’est que récemment qu’elle a été définitivement classée au Campsis. Évidemment, le nom de la plante dans le domaine populaire n’a pas changé, et dans tous les cas, il faut souligner que ces deux genres sont vraiment très similaires, également pour les caractéristiques de croissance. Ce qui varie le plus, c’est dans la forme des fleurs (les couleurs sont plutôt de la même gamme) et dans leur cycle de vie, qui pour certaines fleurit au début de l’été et pour d’autres même au milieu de l’automne.

Utilisations et détails

Disons que Campsis radicans a la caractéristique reconnaissable dans les feuilles, qui ont une marge dentée très légère qui les distingue de celles du genre Bignonia ; non seulement cela, cette plante que nous évaluons plus en profondeur a une gamme chromatique qui tend plus vers le rouge que le jaune, c’est-à-dire que la couleur de ses fleurs est soit orange, soit rouge, avec peu de nuances. Pour le reste, Campsis radicans est un grimpeur classique : il possède de fortes racines aériennes, qui partent à la recherche de murs, pergolas, troncs, poteaux et toute pièce architecturale pouvant leur permettre de grimper à la verticale, en s’éloignant du sol, auquel, cependant, ils restent toujours liés à une partie de la plante, on dit que c’est le développement qui pointe vers le haut. Eh bien, ils sont utilisés comme décoration, car ils ont un grand pouvoir de croissance :

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