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Recherche dans la nature

L’homme, en tant qu’espèce animale, est un produit exemplaire à la fois du pouvoir naturel de création et de la théorie de l’évolution darwinienne, puisque les étapes précédentes pour atteindre la forme actuelle (du singe à l’hominidé, pour atteindre l’homme) et les étapes d’aujourd’hui de notre espèces sont évidentes : d’une plus grande hauteur à un changement d’apparence. Tout cela peut également conduire à une aggravation, étant donné qu’une fois que nous sommes tombés malades beaucoup moins, en particulier de maladies banales comme la fièvre ou le froid, car l’exposition différente aux intempéries (beaucoup plus grande) rendait l’homme plus résistant à des phénomènes tels que le «courant froid » qu’aujourd’hui au contraire nous frappe presque immédiatement. Eh bien, dans chacun de ces cas, toujours, le premier chemin que nous prenons pour résoudre nos problèmes est de chercher dans la nature s’il existe des remèdes. Évidemment, il faut considérer qu’il y a des milliers et des milliers d’années, quand il n’y avait que la nature (pas d’industries, pas de recherche, pas de science, pas de chimie, du moins comme nous les comprenons), l’homme ne pouvait se tourner vers cette méthode que pour chercher solutions. Et c’est ainsi qu’a commencé une sorte d’expérimentation à la première personne, testant de temps en temps si la feuille d’une plante, le fruit d’une autre ou le jus d’une autre plante pouvaient aider à résoudre des problèmes. l’homme ne pouvait se tourner vers cette méthode que pour chercher des solutions. Et c’est ainsi qu’a commencé une sorte d’expérimentation à la première personne, testant de temps en temps si la feuille d’une plante, le fruit d’une autre ou le jus d’une autre plante pouvaient aider à résoudre des problèmes. l’homme ne pouvait se tourner vers cette méthode que pour chercher des solutions. Et il a donc commencé une sorte d’expérimentation à la première personne, testant de temps en temps si la feuille d’une plante, le fruit d’une autre ou le jus d’une autre plante pouvaient aider à résoudre des problèmes.

Phytothérapie


Il y a des milliers d’années, les hommes n’avaient que la nature pour chercher des solutions à leurs petits et grands maux, on suppose donc qu’ils ont exploité cette ressource. Nous, les hommes du troisième millénaire, avons non seulement la nature vers laquelle se tourner pour le but susmentionné, au contraire nous sommes entourés de disciplines technico-scientifiques qui ont des moyens imaginatifs pour rechercher beaucoup de choses… pourtant nous utilisons toujours la nature ! Cette attention et cette préférence pour les moyens naturels de traitement est appelée « phytothérapie », un mot d’origine grecque (phyto = plantes, thérapie = cure) qui indique clairement que nous essayons de nous soigner avec l’utilisation des plantes. Comme déjà évoqué plus haut, cette pratique est encore très en vogue, et la raison n’est pas linéaire à expliquer,

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La phytothérapie tire parti des propriétés d’un très grand nombre de plantes, car beaucoup d’entre elles contiennent des nutriments très utiles et rares que l’on retrouve dans d’autres aliments de l’être humain, pour lesquels ils sont précieux. Et bien, parmi ces nombreuses plantes dans cet article on se réfère en particulier au fraisier : c’est une plante appartenant au genre Rosacées (et c’est une information que beaucoup ignorent), qui a une posture arbustive et herbacée, il a des feuilles à bord dentelé et de dimensions généralement petites et qui dans la période entre avril et juin (cela dépend beaucoup de la zone géographique dans laquelle il pousse et expressément du climat qu’il rencontre) un fruit généralement appelé «fraise» comme le plante elle-même qui est utilisée et très appréciée pour sa saveur sucrée mais aussi très particulière (il s’agit donc d’un plat de type «aime/n’aime pas») Évidemment, la fraise est recommandée à manger car, comme tous les fruits comestibles, elle contient de nombreux excellents nutriments, mais la phytothérapie a découvert bien plus.

Fraise en phytothérapie

Mais pourquoi la fraise est-elle si populaire en phytothérapie ? Commençons par dire que les parties de la plante qui sont utilisées dans cette pratique sont les feuilles et le rhizome, où par ce dernier nous entendons la partie juste enfouie dans la tige de la plante, disons un juste milieu entre racine et tige donc quant à avoir également un aspect intermédiaire, alors que la fonction est celle de réserve de nutriments. Il est donc évident que l’on peut en tirer les meilleures substances du fraisier : mucilage, flavonoïdes, alcools triterpéniques, leucoanthocyanes, tanins, et bien d’autres de moindre prestige mais toujours très utiles. L’action de la fraise du point de vue phytothérapeutique est de deux types, à savoir une purifiante et une drainante. Ces deux actions sont aujourd’hui très recherchées, car la première, comme le mot l’indique déjà, il est capable de débarrasser notre organisme des toxines, alors que ces dernières permettent surtout un meilleur aspect esthétique, car le drainage est important pour la peau et la réduction des graisses. En effet, la fraise fait partie des plantes les plus appropriées pour le traitement des troubles cutanés, un avant tout l’acné : sur elle la fraise agit en réduisant la production de sébum, cette substance naturelle qui pourtant rend la peau grasse et agit donc comme un aggravant. des conditions d’acné.

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