Plantes

Faites-nous connaître la beauté du Malus halliana, un bonsaï à fleurs roses

Malus halliana aussi connu sous le nom de pomme chinoise . Il appartient à la famille des Rosacées. Être originaire de Chine.

Caractéristiques du Malus halliana

Petit arbre à feuilles caduques qui est cultivé comme un bonsaï plutôt que comme un arbre normal.

Les branches sont pourpres ou violettes, minces, cylindriques, glabres et pubères dans leur jeunesse.

Les feuilles sont vert foncé et souvent violettes, ovales, elliptiques ou étroitement dentelées.

Les fleurs sont blanc-rose, mais lorsqu’elles sont en bouton, elles semblent rouges, avec des sépales triangulaires-ovales, un peu longues ou légèrement courtes. Alors que les pétales sont obovales.

Les fruits sont petits, en forme de pommeau, à pétiole, rouges à maturité et restent sur les branches après avoir perdu leurs feuilles.

Soins du Malus halliana

On le trouve dans les arbustes des collines ou dans les ruisseaux.

C’est une espèce qui est cultivée pour sa grande valeur ornementale, le parfum de ses fleurs et la belle couleur.

Elle nécessite des sols composés de 40% de sable grossier ou volcanique, 30% de tourbe et 30% d’akadama.

L’arrosage doit être modéré et bien drainé, mais pas complètement sec.

L’abonnement se fait tous les 20 à 30 jours, à la fin du printemps et en automne.

La taille doit être effectuée lors de la transplantation et de la réduction de la couronne.

Les jeunes pousses doivent être coupées après la floraison.

Afin d’obtenir un meilleur effet esthétique, l’idéal est de sélectionner la répartition des fruits et d’éliminer ceux qui ne font pas partie de l’harmonie.

Pour la transplantation, elle devrait avoir lieu au début du printemps, chaque année. Avec un substrat de base composé de 20 % de sable grossier, 70 % de paillis et 10 % de tourbe.

C’est un spécimen qui attire généralement un large éventail d’insectes et de maladies, en particulier les pucerons, les chenilles, le mildiou ou la gale du pommier.

Elle se propage au moyen de graines en plein air en automne, bien protégées du gel à la fin du printemps, ou par des piquets de toutes sortes en automne.

Vous pouvez donc opter pour ce spécimen, mais n’oubliez pas que si vous avez décidé de le placer dans un pot, il doit être peu profond et à l’abri du gel.

Images avec l’aimable autorisation de : Jing Zhang, Jing Zha…

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